jeudi 21 mai 2009
samedi 5 avril 2008
dimanche 30 mars 2008
vendredi 30 novembre 2007
Sfax
Sfax (صفاقس), deuxième ville et centre économique de Tunisie, est une ville portuaire de l'est du pays située à environ 270 kilomètres de Tunis[2]. Riche de ses industries et de son port, la ville joue un rôle économique de premier plan avec l'exportation de l'huile d'olive et du poisson séché. Sfax est une cité d'affaires et attire peu les touristes. Cela n'exclut pas la présence de certains sites intéressants, tels que la médina et Thyna, malgré la présence des usines de traitement du phosphate.
Sfax compte 265 131 habitants (pour une agglomération, le Grand Sfax, d'environ 500 000 habitants) et se présente comme une agglomération très étendue (sur 220 km² soit autant que l'agglomération de Tunis qui compte 4 fois plus d'habitants), plate et comprise dans un tissu urbain structuré par des axes de communication en toile d'araignée. Elle est bordée à l'est par la mer Méditerranée et l'amorce du golfe de Gabès.
mardi 27 novembre 2007
activité réelle et marché boursier
Cela tient au fait que le rôle du marché boursier ne consiste pas seulement à évaluer l’entreprise, mais aussi à fournir une source de financement. Les fluctuations des cours des actions auront ainsi pour effet de modifier le coût du capital pour l’entreprise. Si, sur le marché boursier, des investisseurs sont prêts, par exemple, à accepter des rendements moins élevés que ne le justifierait la valeur réelle de l’entreprise (c’est-à-dire si les cours des actions sont trop élevés), les entreprises devront émettre de nouvelles actions et investir jusqu’à ce que le produit marginal du capital soit égal à la diminution du coût du capital (Fischer et Merton, 1984). Une telle stratégie peut avoir pour effet de maximiser la richesse des actionnaires existants. Ce raisonnement pose toutefois un problème : il suppose que les entreprises Investiront tout le produit des nouvelles émissions d’actions sous forme d’équipements. Or ce n’est pas nécessairement là la stratégie optimale, car investir en équipements réduit le produit marginal du capital. Les entreprises peuvent, au contraire, investir ces fonds sous forme d’actifs financiers ou, ce qui est équivalent, réduire leur recours à d’autres sources de financement. Ainsi, la solution optimale pour l’entreprise peut être de réagir aux fluctuations des cours des actions en restructurant simplement ses dispositifs de financement sans modifier ses investissements (Blanchard, Rhee et Summers, 1990).
Mork et al (1990) ont avancé 4 raisons théoriques qui expliquent le lien qui existe entre l’évolution du rendement boursier et les décisions d’investissement et de production des entreprises. Ceci peut servir d’assise théorique pour expliquer la relation qui existe entre le rendement boursier et la fluctuation de l’activité économique.